Lorsque le temps est venu, Las les épaules pesantes, De longs nautiques parcourus, Poussant l’esprit tant en avant, Vers ce monde inconnu, Spectre de l'Homme renaissant, Ectoplasme de l'être ému, Où, Au fin fond de l'ombre du vent, Jaillit l'énergie parvenue, De ces terres transparentes, Leurs puissances créent l'arrivée, A cette île permanente, Avalon, l' âme bienvenue, Mue sur ces plages reposantes.