Les sonneries funèbres résonnent encore, Que les battements sourds du cortège escortant Se font déjà sentir et traversent les pores, Alors que l’on accepte le tic-tac du temps.
Et puis les tambours secs animent la session, Et les voix immuables posent un décor Ethéré, nostalgique ou libéré au fond, Avant que les forts liens unissent leurs accords.
Tout est si désarmant que le combat est vain; On apprécie enfin les euphonies brumeuses, Tandis que l’on retourne le vinyle éteint On écoute déjà la caisse enregistreuse.