Je suis fille de la terre mère Et non pas une fille du saint père Je suis sœur des forêts Et non pas du clergé Je suis le rite des sorcières Et non pas ceux des prières Respecte les lois autour de moi Et non pas la loi du célibat La colère fait partie de tous les êtres sur terre Et ceux qui prétendent le contraire, d’honnêteté n’ont guère L’envie est une de plus grandes manies Et ceux qui le nient, ne sont sur ment plus en vie La luxure pêchée interdite et putride Des hommes et des femmes de dieu, frigides La gourmandise un défaut inévitable Même pour les saints, même les plus convenables L’avarice un chose que je ne puis supporter C’est quelque chose de cupide et mauvais L’orgueil attribution de trop de mérite Même soi-disant un don de dieu c’est un mite Paresse : pêché pardonnable Tout le monde en est capable Vénération d’un Dieu qui n’est plus le miens Chacun a le droit d’y croire ou pas c’est son choix, le sien Pas de jugement ni de rejet Envers les gens qui nous ont rien fait Assez de ses guerre et tuerie Qui nous font seulement basculé dans l’oublie Si on continue se sera le néant qui nous attend Les ténèbre se reproche pour accueillir le bon moment