Sur les vagues de mon âme, souvent j’ai mal au cœur ; Je glisse de sommets de joie en gouffres de frayeur. Parfois je crois comprendre les musiques célestes, Et puis soudain je sombre, sans pouvoir faire un geste.
Je suis comme un pendule éperdu dans le vide, Dans les mains d’un enfant, heureux et inconscient ; Ses grands éclats de rire ont des échos morbides Dans mes oreilles bercées, en arrière en avant...