Ivrognes de pouvoir, assoiffés de puissance, Soyez heureux, puisque j’arrête le combat. Je ne puis supporter plus longtemps la souffrance Que j’endure par vous depuis longtemps déjà.
Vous ne pouviez monter : vous m’avez fait descendre. Quand j’ai parlé de paix avec sincerité, Vous avez fait semblant de ne pouvoir m’entendre : Pour vous croire plus haut, vous m’avez humilié.
Vous ne serez jamais condamnés par les juges, Personne ne saura ce que j’ai dû souffrir ; Mais vous n’oublierez pas, et aucun subterfuge N’effacera en vous vos propres souvenirs.
Car vous avez trahi et trompé sans problème, Vous avez, de sang-froid, caché la vérité ; Mais vous ne pourrez pas vous mentir à vous-même :