Dans ces nuits agitées, mes mains parcourent ton corps, Puis pénétrant dans l’antre du plaisir, la joie Envahit ton esprit, l’allégresse de l’or, Tes lignes sont à moi, tu n’es qu’une proie.
Reprenant le dessus, tu descends lentement Et ma virilité soudain se réveille Happée par ta bouche, le plaisir m’enivrant O belle flatterie qui n’a pas son pareil.
Hélas !le virus est là, merveilleux latex Tu nous protége bientôt, merci ô Durex, Mon orgueil raidi n’attend que ta volonté.
Enfin, d’un élan commun nos chairs rapprochées, S’unissent pour ne former qu’un seul être d’amour, Nos esprits et nos âmes s’en souviendront toujours.