Vos
poèmes

L se dit
du fond de son âme assailli
de douleur, l'envie;

A léger
à jamais de ce supplice,
son coeur entaillé, meurtri.


M ment toujours!
pourtant le temps glisse.
tant d'amour, quel gâchis !

O! près de toi,
ne trouvera-t-elle que désarroi ?
dérisoire, son espoir détruit.

R heurt de pensées,
enlacées de couleur pourpre
pourchassant les nuées ;

T âtre obscure, noirci,
laissant choir ses rêves
endurcis, trêve de cruautés.


D tendu désormais,
méprisable désordre tant inattendu
mais de ses désirs se doutant encore...

O! tombées des crépuscules
se reculant, encombrées d'efforts ;
effrayée, incomprise, elle dort.

U tel le moyen, alors
mieux encore que l'utopie
chimérique, loin d'ici

C ces maux et douleurs.
de ces maraudeurs d'espoirs
se délivrer l'esprit,

E phonique chant
acceuillant, chéri, euphorique
euthanasie de la vie.