D’une vaste forêt de chênes centenaires, Aimable paysage où chante un rossignol, S’élève le refrain, rhapsodie en bémol, D’un écho familier aux chemins solitaires.
Éloignant, du sous bois, les fantômes obscurs, La lumière se pose en légères caresses, Refuge de lutins, de nymphes et déesses, Labyrinthe fantasque aux rêves de futurs.
Le vent fol et plaintif, à travers le feuillage, S’essouffle, impatient, à vouloir effacer Les traces qu’un jadis s’obstine à préserver Sur cette douce toile où manque ton visage.