Mon cercueil m’accompagne dans mon dernier périple. Il fera partie de moi puisque je suis là, Dans celui là, Sans trouble ni émoi, Devant ce grand four. Cette boite sera la dernière dans laquelle je m’engouffrerai Puisque je vais y bruler. Ce grand cercueil blanc ressemble à un livre d’enterrement Ou bien à une valise Dans laquelle j’y fais cette dernière devise Plutôt mourir que souffrir. Telle est ma devise Ma chère Marie-Louise.