Je ne connais pas ce qu’on appel l’amour Le contrais-je un jour, j’en doute Alors pourquoi survivre, pourquoi Pour ce laisse dévore par la souffrance Etre habite par la jalousie Ce dire, qu’on ne pourra jamais, au bien jamais Caresse les lèvres d’une femme Effloré ça douce peau Ne jamais connaître le plaisir charnel Et ce qui en résulte