L’amour a un parfum inépuisable Celui d’une sirène allongée sur le sable Les larmes coulent le long de ses joues Jusqu’à ses lèvres puis son cou. Elle pleura sans pouvoir s’arrêter C’est comme cela que l’océan est né De larmes d’une femme désespérée Attendant le tendre baiser D’une brise de printemps qui ne soufflera jamais…