Le regard nu posé sur ses genoux Ma peau a pris le goût de ses pensées sauvages Et moi et moi je fuis Je fuis le garde-fou Qui me tient prisonnière Tisonnier de sa cage J’ai feu dans la maison où son ombre paresse J’ai feu des mains tendues Sur les colifichets Les osmondes sourient mais je n’ai de promesse Que celle de la mort qui vient me caresser