La fatigue me gagne et je voudrais couler Où se fondent les eaux en néant d’habitudes Là où gisent les ors, là où vont s’ébouler Les serrements de cœur aux serments lassitudes
Où se fondent les eaux en ferments isoloirs Fermement je voudrais noyer mes cris en thème Oublier qu’il y eut à braver ces couloirs Qui obsèdent mes nuits aux gris de mon baptême
Et le monde inhibé de mes tourments foireux Respirera bien mieux, respirera plus fort ! Là où gisent les ors, mes os, pauvres lépreux Y gagneront la paix, soulagés de mon sort !