Quand écrire ne sert à rien Sinon à retourner aux autres S’habiller de leurs rires Un voyage à l’an vert L’Acapulco des nues Sables dont le gain s’insinue sous la chair
Chers absents je vous vois Dans mon encre menue Je continue la plume où me mènent vos mains Souffler sur la poussière Redevenir lumière Pour un temps un instant Ephémère stratagème D’exister dans l’amour qui portait nos raisons
Quand écrire ne sert à rien Sinon à retourner en soi Au ralenti