Dis moi le matin qui se lève Dis moi, le ciel si bleu du jour Dis moi, ce dont ton cœur rêve Dis moi, encore tout ce qui t'entoure
J'ai perdu les mots que j'avais imaginé Comme échappés de mes cahiers, de mon cerveau Perdu ce que j'avais écris, dessiné Mes mains sont vides comme un vieux piano
Je regarde le chemin, qui court vers l'infini Ce chemin qu'il me faut suivre, remonter Parce qu'il le faut, parce je te l'ai promis Parce que jamais nous ne devons renoncer
Alors, dis moi, les papillons sur ta fenêtre Le vent léger qui soulève les herbes folles Dis moi, le velours des abeilles, tes peut-être Et souris du sourire de tes yeux, cet alcool