Tendrement elle touche la terre elle remplisse les mers Tout est mouillé, tout va être débordé Comme une fourmi légère on s’éloigne de nos terres Ce sentiment étrange ! Par un vaisseau on est portés Repoussé par une force, loin des montagnes on perd les repaires Les herbes les arbres les demeures tout est inondé Chaque moment, le chagrin, la peur nous tue, la nature est en colère On est loin isolés ,on s’écartent comme si on était chassés Énervé perdus sans espoir ! Pleurons nos mères pleurons nos pères Le monde est perturbé la peur nous envahis c est l’anarchie La vérité dans nos tetes ! On paye nos dettes envers la planète celle des ancêtres