Le temps qui mène hélas et les navires Dans le vaste vaste vaste vaste océan S’y reflètent les oiseaux tout s’y mire Le vent comme la pluie triste est le temps Arrive la nuit aux cheveux d’ébène Lasse dans un murmure dit adieu Adieu adieu chante la sirène Le soleil doucement ferme les yeux Le ciel est si bleu la nuit s’achève Le temps s’envole fragments d’illusions Tout disparaît avec les rêves Cet instant que l’instant d’après nous oublions Le temps qui mène hélas et lénifie Dans le vaste océan Epars partent les oiseaux tout s’y mire Triste est le temps tant le temps s’enfuit