mon corps lourd comme un cheval mort trop fatigué pour y penser encore, à tort. dans l'iris de mes regards, une étincelle là, au profond de mon être subsiste comme ça.
je l'entend chavirer et craque sa coque cassé, tout où partie de moi au vent s'effrite et s'étiole, j'aurais tant voulu échanger un mot une babiole.
le Milan fou qui passe sur ses ailes les à emporté, ces paroles, que j'aurais pu déposée sur ton cœur, oh! tu les as déjà entendu et reconnu, par cœur.
on se connaît toi et moi, depuis tout ce temps déjà, en fermant doucement les yeux je te sais juste là.
oh! l'étincelle encore au profond de mon être subsiste comme ça. la coque, les voiles, résiste encore un peu je le sent, c'est comme si je te sentais encore battre dans mon sang.
ton image éternelle se mêle à nos souvenirs et je te ressent quand s'entremêlent nos soupirs.
tu est comme un baume, une onguent, douce sur moi, j'aimerais tant que nous restions l'éternité comme ça.
dans un dernier fébrile mouvement de paupières, je sent que tout m'échappe sans rien ni faire.
dans un maelstrom de souvenirs l'étincelle va, danse deux lueurs qui s'illuminent comme ça. Ont illuminera certainement pas tout le firmament, mais une nouvelle étoile brillera certainement.
afin de guider ceux qui s'enlasse et s'embrassent, car les amours nouveaux ne voient pas le temps qui passe.
