le nuage ne peut-être en cage il aime les nouveaux horizons se promène au dessus des maisons et de village en village change de paysages.
Et de son air bourru et cottoneux me renvoie sur l'horizon merveilleux, parfois il se confond au firmament et eveille mon regard d'enfants.
souvent soleil couchant tu te pare de mille feu. dans ce ciel qui s'embrase avec tes semblable. tu suis ton chemin et tu file là ou tu veux. et je contemple le cheminement dans ce ciel admirable.
et combients las d'être porté par la terre voudrait se poser sur toi. et partir aussi loin que tu le voudras en côtoyant tous les sommets du toît.
mais le soleil dardant plus fort et montant dans le ciel me donne tort. réduisant par son feu incandescent les volutes légères. te dissipe de nouveau à rien et me remmène sur terre.