En ce matin frisquet, je piétine ce sol défiguré. Il y a en moi, une certaine tristesse, de l’indifférence. Un ciel gris, maléfique qui souffle un vent cruel.
Je suis amorphe titubant quelque peu, désarroi. Solitaire, aucun bruit perceptible, souffrance. Promenade indécise, l’esprit divague, déchirure.
Je retourne vers l’apaisement, chaleur d’une chaumière. Ma plume en est ravie, l’encre coule les mots précis. Il y a en moi une relâche, un silence bienfaiteur.