J’écoute cette voix de divine éloquence, Qui d’aimable douceur m’instruit méditatif, Source de probité dont le fond intuitif, Révèle des valeurs pourvues de tolérance.
Mon Dieu, qu’en ta bonté unie à la clémence, Tes propos d’onction m’éclairent si, pensif, En mon incertitude et dans mon cœur plaintif, Je me perds à douter avec intempérance.
De tes Autels j’entends l’angélique discours, Et j’exprime en ton nom un altruiste recours, Pour que dans la vertu je brise enfin mes chaînes.
En mes regards je loue l’envie à ta grandeur, Car je sais que bientôt, l’une des fois prochaines, Mon âme à ton esprit y confiera son cœur.