La main du Créateur a moulé la Nature, En de secrets accords dans l’ordre originel, Composant de ses doigts l’élément fraternel Né de l’unicité, mystique architecture.
Le monde est un miroir, l’homme en est la bouture, Cultivant l’héritage, où, devant l’Éternel, Il sert l’ample dessein dans le spirituel, En l’amoureux transport dont il est la texture.
Dieu ne nous affranchit de nos doutes épars, Dont l’humaine impuissance a dressé ses remparts, Que si le cœur ressent avant que l’esprit pense.
Un frivole intérêt, enveloppant nos yeux, Dupe la probité, disgracie la créance, Si au val de la foi nous restons factieux.