Peut-être, lorsque la nuit tombée mon dernier jour poindra Un jour de septembre, les feuilles mortes rousses délivrées Portées par la brise tel un souffle d’esprit oignant mon aur Se posent mollement, au rebord de ma fenêtre, désenivrées
Mes mains, alors mes pauvres mains s’élèveront vers le ciel Les fleurs de mes yeux imploreront la voute étoilée irradiée La bouche contorsionnée, le visage contracturé pestilentiel Le torse dilaté expulse l’ultime exhalaison ulcérée, mortifi
Le Maçon dans sa sagesse acquise et toujours à conquérir Accepte cette épreuve inscrite par le verbe de l’exactitude Homme de chantier, nous polissons notre histoire pour périr Nos outils effilés fouissent notre caverne ciselant la recti
Au bout du tunnel, il y a la lumière, chatoiement sempiterne Au bout de la nuit, scintille notre astre vagabond mais fidè Au bout de nos vies, l’étoile nous guide vers l’orient étern Nous momifie de perles et de parfums subtils d’asphodèle.
Notre zèle affilie en notre conscience l’incertitude de la v L’angoisse de la mort paralyse l’évolution du Franc-Maçon Vaincre cette véridicité enjoint une pure harmonie assouvie L’amour à l’égal de la fraternité, la charité sans autre leç
Mon Frère, la Franc-maçonnerie ne va pas sauver le monde, Nous concevons notre croix, souffrance, émotion et frénésie Lève ton regard dans l’azur de l’éden, enchante et féconde Choisi ta quête spirituelle, éveille le bonheur, écris ta po
La Franc-maçonnerie attrait l’homme entre le noir et le blan Toujours debout, en pied, marcher, avancer, la vie est amour Nous sommes tous Frères vaillants, cherchant le verbe franc Confiant en la vie et respectant la mort, je suis un troubad