Il faut que, tout d’abord, tu apprennes à l’attendre, En l’espérant… petite ou bien… bonne ou… jolie. Tu sauras qu’elle est là lorsque sur ta peau tendre Tu sentiras son souffle. Pour toi, c’est l’embellie.
Elle te mènera (c’est vrai qu’elle est experte) Jusqu'au septième ciel et peut-être plus haut. Ses caresses parfois, tu verras, déconcertent... Mais quelle fougue alors, quel talent, quel brio !
Je sais qu’en aucun cas tu ne seras déçu. C’est pour que tu vives cela qu’on t’a conçu. Elle se calmera. Souviens-toi, pas de crise.
Tu reviendras sur terre, apaisé, nonchalant, Car vois-tu mon petit, c’est ainsi que la brise A toujours aimé faire l’amour... aux cerfs-volants.