Tu es mon île, mon refuge, Ma citadelle ancrée en mer, Et quand surgissent les déluges, Lorsqu’arrivent les jours amers, Tes bras deviennent sémaphore. Très vite alors je viens vers toi Rechercher l’abri de ton corps Et apaiser tous mes émois. Comme les jetées dans un port, Tes bras m’enlacent et me protègent, Tu es mon île, mon château fort Mon luxe et mieux, mon privilège.