En amont du déclin, un roi se prépare, face à la destinée L’inévitable l’attend, un sourire au visage, une faux à la main Les hélianthes s’harassent et larmoient un flamboiement légendaire Le dynaste astral, feu, n’est plus, d’un dernier souffle il dit : « Mes frères, mes sœurs et mes fils ; le soleil se meurt Ses cendres tomberont dans l’oubli Pour renaître, le phénix souverain doit disparaître dans les abysses, en leur cœur L’ombre terne que l’on nomme, nuit. »