L’ordre des choses s’est emparé de l’univers Qui environne encore les reflets qui m’habitent Le monde ouvre un chemin où de nombreux calvaires Surgissent pour les prières des moines cénobites.
Chaque fois que s’exhale le parfum de l’encens Une fumée monte aux cieux et m’entraîne avec elle En divers tourbillons qui m’envoûte en dansant Et qui bientôt m’échappe sans laisser de séquelles.
Chaque étape de ma quête me conduit vers l’Orient Qu’une poudre dorée recouvre peu à peu, Qui cache mon visage, pas même souriant.
Il devient difficile de rester innocent, De pouvoir résister à des titres pompeux Quand je deviens vieillard aux cheveux blanchissants.