Nos armes de guerriers se blasonnent en lumière En fonction des symboles devenus enfantins Au royaume des consciences d’une croix templières De gueule sur fond d’azur d’un miroir sans tain.
Les mythes nous environnent sur des plans ensablés Qui s’effacent dans le noir, dans le fond de nos âmes. En parfait chevalier nous restons entablés Sans trouver dans l’écu le regard d’une femme.
Une substance se forme en chrysalide divine Qui déjà modifie l’héraldique langage Dont le code est secret et que nous on devine.
Nous happons les espaces, les ombres mensongères Que les forêts détiennent entre deux élagages En un duel fratricide sur une terre étrangère.