Si un jour je ne serais plus personne, Je serais fier que Des amis qui me soulagent Par du soleil et de la pluie Par des jours de magie Ceux qui ont dans le cœur un peu de rage
Ceux dont cette douceur aux plus beaux paysages La loyauté des oiseaux de passage Ou leur est tiré de la tendresse Et quand dans leurs yeux se glisse souvent la tristesse ; Alors, ils se réfugient chez moi Et toi aussi, tu pourrais venir
Tu pourras retourner au fond de tes images Et de nouveau sourire à bien d´autres visages Donner autour de toi un peu de tolérance Lors-qu´un autre voudra te cacher sa malchance
Comme on ne sait pas ce que la vie nous prône Si un jour je ne serais plus personne Et s’il me reste un ami qui vraiment me comprenne Je sécherais mes larmes et mes peines Alors, peut-être je viendrai chez toi Cacher mon désarroi