Celle, qui a été, jadis, ma félicité En devient aujourd'hui mon tourment Et comme les roses qui fanent en été, Ton amour, en ces derniers temps, était absent
J'aurais voulu en changer le destin, Mais le train du temps suit son chemin Sans escale, il continue sa traversée vers demain Vers l’infini, vers l'inconnu, vers l'incertain
Et moi, je suis dans ce terrain, voyageur inconnu J'emporte ma peine comme un fardeau Vers cette destination, vers ce tombeau Egaré dans la mémoire des peuples et du temps.