Un monde de nacre, dans un écrin de velours Un monde où seul encore dirige l'amour Un monde qui sûrement n'existera jamais Ailleurs qu'aux tréfonds de mon esprit compliqué
Des rires, des enfants, des amis Seuls sous le soleil, ils chantent et ils rient Des oiseaux, des papillons et des fleurs Et une main amoureuse qui se presse sur mon coeur
Je flotte dans les cieux, étherée et légère Main dans sa main, sans jeter un regard derrière Un douce lumière nous baignent de tendresse Et je m'oublie sous la douceur sucrée de ses caresses
Je ferme les yeux, je ne vois plus rien Mon dieu que tout est seulement bien Si seulement, un jour ou une nuit je pouvais Goûter les plaisirs de la sérénité ...