Ma jeunesse évanouie Dans les grands champs de l’oublie Elle crie, elle crie mais personne ne l’entendit Se plaindre de sa misérable et horrible vie
Ma jeunesse évanouie Ce lasse de ne rien faire, elle s’ennui Elle veut conquérir le monde, mais l’envie Lui échappe de ces mains de petite fille
Ma jeunesse ravageuse N’aime pas qu’on lui dise non Serte capricieuse Mais le cœur fragile comme du coton
Ma jeunesse incendie Elle brule tout ce qu’elle a entrepris Les étincelles lui parvienne seulement qu’on t-‘elle rêve l Elle si douce et jolie, ma jeunesse évanouie
Jeunesse je te dédie ces mots Car tu possèdes déjà ma peau
Et je sais que demain tu t’en iras Peut-être restera t-il un parfum de toi
Qui me rappellerais la douceur et la tendresse Que tu m’as procuré chère jeunesse