J’étais seule, aux ténèbres en train d’avaler l’amertume du Oui seule, Sans oser à apercevoir ton ombre ni à flairer ton J’avais une plume, quelques feuilles et un couffin de souven Ce soir, j’étais habillée par un froid brûlé par les feux du
J’ai calmé les courants révolutionnaires qui m’en circulent… Ce soir..En amont et en aval des brises chaudes me brûlent.. Le rouge à mes lèvres.. le noir aux murs.. quel soir pervers Ce soir…J’avais le cops enseveli sous des soupirs pubères…
C’était que des mots qui errent dans l’espace des délires Que des phrases sourdes qui cherchent à me jouir … J’étais tellement faible sous l’effet de cette magie .. Que je pourrai plus cesser les goutes de cette pluie..
Et puis, j’étais seule avec quelques scènes orphelines en ci Je me défendais en bec et en ongle contre cet urgent désir Eh soir…Je suis plus la silhouette qui fond le diable nu Mais avant tout, je suis Ève, un incendie jamais vu ….