Infini espoir qui hante mes nuits A en perdre haleine mon cœur s’accélère. L’infortune pensée d’être près de lui Me fais rêver d’une vie lente et prospère.
Un son, une image, une odeur, Me rappelle chaque partie de toi. Ô grand mage, roi de mon cœur, Ma contrée est tienne jusqu’en Alaska.
La crainte de te voir déguerpir, Me ronge, me consume totalement Et fais de moi, un pantin sans sourire Qui tiens à toi avec acharnement.
Mais je laisserais le temps filer, Et les futiles années passer, L’espoir de te retrouver restera caché Afin que ton cœur ne soit pas brisé.