Ton corps-figurine, tes mains allongées Un champ d’étoile, fresque nocturne. Illusion d’optique, parallèle au sommet D’une toile-aquarelle, fusions sismiques.
Du corporel, dimension géographique Devers l’histoire qui tourne en boucle Loupe, sans s’éteindre ou s’apaiser Aux regards décadents, gouttes charnelles.
Tu es mots, nous sommes phrases, Nous sommes textes. En annexe : Dualité informe aux reliques sacrées. Relier l’indécis, l’éphémère, l’irréel