Pressé comme un jolie fruit brulant, Ton sourire, gorgé de soleil d'orient, Infuse dans mes veines, une saveur amère, Me laissant dromadaire-ment dans un désert.
S'échappant de tes beaux yeux céruléens, Un zeste pétillant de candeur acidulé, Envahis d'une armée de vitamines c, Mon regard encore endormi, cristallin.
Tes cheveux d'écorces narandj, Te donne la volupté d'un ange, Entortillant mes pensées iniques, Dans un fabuleux monde onirique
