Comme les torrents envahissent les plaines, aveuglément Les larmes coulent des yeux qui ne veulent plus voir, Sans retenues, elles s'en vont, seules, infiniment Sentant la haine, elle ne sortent que dans le noir.
Toujours se calment, les plus impétueux des torrents. Par apparition divine ou par simple espoir, Apaisant les tristesses pendant un bref moment. Toi qui apparu, tu es devenu mon espoir.