Gambadant à toute hâte, vers des contrées élues, Se promène, semblables aux pensées farfelues D’une cervelle d’étudiant, une pouff de marmota, Dans l’ondoyante forêt des Sciuromorpha.
Prés de moi, me paraissant, admirable, belle, Je ne vois d’elle que défauts en caramel, Ces yeux en noisette, ces cheveux chocolats, Mirent dans mon cœur, la plus tendre des marmotas
Remuant son cœur de crème, Partageant sa balade, Ne lui racontais-je que magnifiques salades, Si bien qu’au fil du temps, dans ce bois étendu Je mis mon amour d’elle, dans du papier d’alu.