Violence du trait, hachure découpée, Balancement du pendule, le jour arrive, Mon œil se perd et mes mains regroupées ; Au fond de mon esprit cette âme dérive.
Au plaisir infernal de ma folle espérance Mes neurones bataillent sur le blancs papier, Feuille vide et vierge, pleine d’innocence, Elle me dévisage de la tête aux pieds.
En proie à la phobie du réveil douloureux, L’étreinte délicate des mots, nonchalante,; Mon corps se crispe aux coups de couteau douteux D’un regard de la belle à ma plume qui chante.
Métamorphose du récit, de tout mon être, Mélange pictural, mirage visuel; De cette longue vie je ne suis plus le maître, Elle lit ce que je suis, devenu immortel.