Tu es ma richesse, tu es tout mon bonheur, Car ma sourde tristesse et tous mes brûlants pleurs S’effacent un par un quand je suis avec toi, Me renforcent de vie et d’Amour à la fois.
Tu es ma joie, tu es toute ma folie, Car depuis deux mois et quelques jours aussi, Je suis de nouveau moi-même, l’enfant heureux, Surtout un garçon qui aime et est amoureux.
Tu es mon amie et tu deviens mon dilemme Car j’ai omis de te dire combien je t’aime, Combien de fois j’ai regardé le fond de tes yeux, Combien j’aurais voulu me perdre dans ces cieux.
Tu as eu ce texte, cet ultime poème, Mais il n’est pas un prétexte à ce que devienne blasphème, Notre relation qui n’a rien d’anormal, Notre position qui est, et reste amicale.
Je sais que ton cœur appartient à quelqu’un d’autre, Je sais aussi que mes pleurs n’y changeront rien d’autre, Je sais que je ne suis qu’un "KéKé" entêté, Qui aurait tant voulu qu’il te soit destiné!