Savez-vous que ma tête ne peut s'empêcher de penser à vous? Je tente en vain de ne pas retomber dans mes rêveries Sentimentales, tourmentées, un peu folles j'avoue, Depuis ce soir d'octobre où tout le ciel semblait gris.
Permettez moi alors avec toute l'audace Vous avouer ce qui au fond de moi se joue. Un feu impitoyable, des flammes qui me terrassent, Une vérité depuis que mes lèvres ont effleuré vos joues.
Je patiente nuits et jours qu'un calendrier propice Se dévoile pour convenir de vous revoir, Et mon âme sournoise, pleine de malice S’évertue à y croire du matin jusqu’au soir.
Il va de soi que mon être est hypnotisé Par vos charmes et vos regards langoureux, Et ce contact furtif continue d’attiser Le feu brûlant en moi qui me rend amoureux.
Dites moi s’il vous plaît quand vous reverrai-je? Que ce soit dans un jour, un mois, ou bien un an, Dites-moi quand aurai-je ce privilège De croiser votre regard qui fait bouillir mon sang?