La porte que tu as ouverte Cachait une merveille De baisers mouillés Dans ta bouche entrouverte, Ma robe déboutonnée par terre, Le lit accueillant de tes bras Sur ma peau nue Et ton corps inconnu Dans la fente humide De mon ventre sans défense, Riche en bouleversantes surprises. Pendant une heure on a vécu la vie, Celle que le ciel nous a accordée. On a parlé de notre avenir.