On est las des beautés pleines de santé Qu'on voit à l'intérieur de ces gymnases; Il ne faut se douer de fausses extases Que pour bien éloigner la volupté.
Et l'on recherche la beauté malade, la vénéneuse plante maladive, qu'on guette de façon un peu furtive en marge d'une vieille balustrade.
Tout ce qui nous rappelle à la vigueur N'est bon que pour le corps sans sentiments, Ne donne pas à l'a^me les aliments Pour avaler une goutte de bonheur.