Arbres à branches nues Telles des racines Mais dans l’air, pas la terre Et la ligne du sol Dans tout cela Peut faire office de vitre transparente – au moins dans l’esprit – Qui couperait en deux Un tronc Qui s’effiloche A ses deux extrémités En un réseau De branches-racines. Bah oui un sol Qui ne cache pas à l’imagination Ce qu’il recèle en dessous, C’est une vitre transparente Qui s’ignore en partie Et puis qu’importe C’est un miroir opaque pour l’œil Pas pour tout le reste !