Ô terre sacré, paysage lunaire Par de louanges vanté et odes crépusculaires Mille fois assiégé, il n'y a de trêve sans guerre Qui peut l'apprivoiser sera un visionnaire
Loin de l'idée d'attiser la candeur Une soif de vérité abreuvée de douceur Quand se trouve dépassé, et monte cette ferveur Qui peut donc résister à l'apaisante chaleur ?
Il est tant de vertus que l'on ne peut nier Mais je crache dessus en dépit du bon sens Quand soudain à ma vue vos dessous exhibés Ô divine ingénue esquissant l'innocence
Au cœur de vos atouts je jouerai toutes mes cartes Quitte à devenir fou au risque de m'égarer Je ne suis point le loup, ne devenez écarlate Me voici devant vous, tendre féminité