Et les sages silences auxquels nous soumet la nuit Quand le sommeil soudain assouvit nos rêves Qui s'enfuient pourtant lorsque revient le jour Mais laissant songer à un prochain sourire Apercevoir sa vie comme on voudrait qu'elle soit Juste apercevoir
Et ses filles si belles que l'on ne voudrait pas Celles qui semblent intouchables, qu'on ne peut émouvoir Attendre l'unique, l'entourer de ses bras Et toujours songer à son prochain sourire Apercevoir son corps, juste un peu, l'adorer Juste apercevoir