Narcisse, mon maitre, je me vénère Tu n'es rien, et bien moins que moi Tu méprises l'amour, cette colère Ne sert pas car cette femme ne t'aime
Et l'eau d'une fontaine a refléter ton désir De plaire à quelqu'un, et ce fut toi Tu t'es laissé mourir de ne pouvoir saisir Cette image. Je t'amènes des chrysanthèmes
Narcisse, mon maitre, je te méprise Tu t'es fait embrumé par un esprit dénué De vertus et valeurs, sache que les femmes te brisent Pour arriver à leurs fins, toi, tu t'es suicidé
Narcisse, mon maitre, elles fanent Tout comme les fleurs que tu leurs offrait Tu ne recherchais pourtant pas l'amour profane C'est ce que tu as trouvé, je le sais.