L'aube se levait a peine,je marchait déjà Dans la neige tombée la nuit derniere; maintenant que Le chant du coq s'était fait entendre,on Pouvait voir le soleil pointé en dessous de L'horizon.Les branches des arbres rendues Trop lourdes par le poids des critaux se Penchait pourm'effleurer les cheveux. la veille encore je pensais la retrouver,là, Devant cette montagne où toùs nos souvenirs D'enfance étaient restés gravés.Mais maintenant Que le soleil brillait haut dans le ciel,et que Le vent glacial m'avait gelé les joues,je compris Enfin que notre rendez-vous ne serait pas ici, Aujourd'hui,mais l'année prochaine,je ne sais où?