Quand la vague sourit au pécheur aveuglé Et quand sur la pénombre un message s’écrit, Mon cœur sur les flots noirs s’éprend de mon esprit. Amour intransigeant, nul ne peut te voler !
Quand mon âme s’éveille aux blancheurs du néant Et quand pour que je vive il me faut une mort, Alors je prends ma vie et la jette au dehors. Les tentations du soir font des traces de sang
Et tapissent le fond des désirs les plus grands. Quand l’un aspire au beau, l’autre veut la laideur. L’esprit entend souvent se lamenter le cœur