Je pleure pour vous des larmes d'encre, Jeunesse sans lettres ni culture. La faiblesse des peuples naît des cancres Qui, de ce fait, n'ont plus d'armure. Souvenez-vous que ce sont les orateurs, Avec leur paroles biens tournées Qui dirigent nos espoirs et nos malheurs. Alors jeunesse dresse-toi et hurle Pour qu'on t'enseigne que les livres Appartiennent au peuple et ses émules. Ami lis et relis pour enfin vivre.